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alphonse daudet
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La chèvre de Monsieur Seguin
Alphonse Daudet
- Pere Castor
- Premieres Histoires Du Pere Castor
- 21 Mars 2018
- 9782081427341
Blanquette, la petite chèvre blanche de monsieur Seguin, est éprise de liberté. Elle ne songe qu'à se rendre dans la montagne, malgré le loup qui y rôde. Un jour, elle parvient à s'échapper et découvre les joies d'une vie en pleine nature. Mais voici venir le loup, prêt à la dévorer. Jusqu'où Blanquette ira-t-elle pour se défendre ?
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Lettres de mon moulin
Alphonse Daudet
- Le Livre de Poche
- Le Livre De Poche
- 19 Septembre 1972
- 9782253005254
Alphonse Daudet Lettres de mon moulin Le Nord de la France, noyé dans les brumes, ignorait le Sud. Alphonse Daudet le lui fit découvrir par ses Lettres de mon moulin. La Provence, celle de la mer et celle de la montagne, est apparue soudain avec ses troupeaux, ses belles Arlésiennes et ses parfums.
Un siècle plus tard, maître Cornille et son secret, la mule du pape qui retient son coup de pied, le curé de Cucugnan, le sous-préfet aux champs, tous ses person- nages vivent encore avec la même intensité. Tristes ou gais, mélancoliques ou satiriques, ces petits textes sont des chefs-d'oeuvre de malice, de poésie et d'émotion.
Préface et notes de Louis Forestier.
Nouvelle édition illustrée.
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Daudet Le Petit Chose Cette première oeuvre d'Alphonse Daudet (1840-1897) puise largement sa matière dans la biographie de l'écrivain. C'est bien lui, ce Daniel Eyssette, enfant du Midi exilé dans la brume lyonnaise après la faillite paternelle, qu'un professeur appelle avec dédain « le petit Chose ». C'est lui encore, ce pion de collège terrorisé par ses élèves, puis ce jeune homme pauvre, partagé entre rêves de gloire et tentations féminines, errant sur le pavé de la capitale... De même, le terrible M. Viot, surveillant général, la malheureuse servante dite « les yeux noirs », la négresse Coucou-Blanc ou le tendre frère aîné, surnommé « Mère Jacques », ont-ils le relief et la saveur de la vie.
Proche à certains égards du naturalisme, sa peinture des collèges et de la bohème littéraire possède cependant la touche d'humour et de poésie qui a fait le succès des Lettres de mon moulin. Roman d'une enfance humiliée, porteur d'une vision sociale sombre et d'une morale ambiguë dont se souviendra Jules Vallès, Le Petit Chose demeure un classique, entre Dickens et Zola.
Edition de Louis Forestier.
Préface de Paul Guth.
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Les hommes ont abattu la forêt pour construire leur ville, mais de fortes pluies font rejaillir la sève des arbres, qui reprennent peu à peu possession de leur domaine, contraignant les hommes à s'enfuir. Ce conte est suivi de citations de nombreux auteurs qui rendent hommage et mettent en valeur la nature.
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Héros de la petite ville de Tarascon, Tartarin ne rêve que d'aventure et de chasse au lion. Mais que l'Afrique est loin pour qui n'a jamais quitté sa maison ! L'intrépide chasseur s'embarque enfin : parviendra-t-il à débusquer un fauve du désert ? Personnage burlesque mais si attachant, Tartarin est le type même du Méridional hâbleur qui se dupe lui-même autant qu'il dupe les autres. Où se rejoignent cocasserie et vérité, mais « une vérité d'outre-Loire qui enfle, exagère, ne ment jamais, et tarasconne tout le temps ».
Sans jamais se départir d'une réelle tendresse pour son personnage, Daudet a déployé dans Tartarin de Tarascon toutes les ressources de sa verve et de son ironie, créant ainsi l'un des plus grands types comiques de la littérature française.
Edition de Marie-Ange Voisin-Fougère. -
Voulant affirmer auprès de ses concitoyens une image héroïque quelque peu mise à mal, Tartarin quitte Tarascon, piolet système Kennedy à la main, pour affronter les rudes parois de la Jungfrau et du Mont-Blanc. Après tout, n'est-il pas le président du Club des Alpines, ces gentilles petites collines de sa région provençale ?
Après l'Afrique, c'est dans les Alpes qu'Alphonse Daudet entraîne son héros mythique, burlesque, naïf et hâbleur, pour des aventures qui égratignent au passage les touristes amateurs de sensations fortes - mais en trains et en palaces - qui ont remplacé, à la fin du XIXe siècle, les pionniers de l'exploration alpine. -
Édition enrichie (Préface, notes, dossier sur l'oeuvre et biobibliographie)Parus en 1873, les Contes du lundi évoquent dans la première partie, « La Fantaisie et l'Histoire », cette période de défaite et de bouleversements que fut la guerre de 1870. Fierté blessée, grandeur ou malice animent des textes devenus des classiques comme « Le porte-drapeau », « La dernière classe », « L'enfant espion ».
L'humour, noir ou rose, domine dans « Caprices et souvenirs » de la seconde partie.
Simplicité, finesse, émotion, poésie, vérité du trait sont les qualités maîtresses de ce recueil qui, avec les Lettres de mon moulin, fait d'Alphonse Daudet un des plus célèbres écrivains du xixe siècle.
Préface de Louis Nucera.
Commentaires et notes de Louis Forestier.
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Un Oliver Twist à la française, par un des géants de la littérature française du XIXe siècle.
Un Oliver Twist à la française Enfant chétif, Jack n'a jamais connu son père. Afin d'avoir les coudées franches, sa mère, Ida de Barancy, fausse comtesse et vraie cocotte , cherche à le placer dans un pensionnat. C'est ainsi que le garçon échoue au gymnase Moronval.
Ida s'éprend de l'un des professeurs, le vicomte d'Argenton, poète raté avide de gloire et de fortune. Égoïste, avare et ombrageux, ce bellâtre fera de la vie de Jack un enfer : envoyé par son tuteur aux forges d'Indret, l'enfant est réduit à la misère et à l'ivrognerie. Et c'est lorsqu'il retrouve sa mère chérie, dans la bohème parisienne, que se déclare une maladie de poitrine...
Jack parut en feuilleton en 1875. Ce livre de pitié, de colère et d'ironie est le roman émouvant et cruel d'un destin gâché par l'inconséquence d'une mère et la haine d'un beau-père, mais vengé par la satire dont l'auteur du Petit Chose accable ses bourreaux, voués au ridicule. Dans Trente ans de Paris, en 1889, Alphonse Daudet racontera la genèse de cette histoire inspirée d'un épisode réel de sa vie - texte reproduit en postface. -
Roger Grenier rappelle, dans le tome III du Tableau de la littérature française, quelle fut en son enfance la fortune de cet écrivain : «Daudet était incontesté. Un classique, même, puisqu'on étudiait à l'école La Dernière Classe et La Chèvre
de M. Seguin. La grande critique [...] ne nous aurait pas démentis. Anatole France compare Tartarin à Don Quichotte.» Roger Ripoll, quant à lui, note en tête de son introduction : «Quelques-unes des créations de Daudet, échappant au cadre dans lequel elles avaient vu le jour, se sont intégrées à la culture la plus large, la plus immédiatement partagée par tous.» Tartarin est devenu un nom commun et on sait quelle valeur proverbiale a pris pour nous l'Arlésienne. C'est ce maître-conteur qu'offrira d'abord au lecteur le premier volume de la Pléiade, avec les Lettres de mon moulin, les Lettres à un absent, Tartarin de Tarascon et les Contes du lundi. On verra par l'appareil critique - nous avons pu dépouiller de nombreux manuscrits - comment Daudet parvient à cette efficacité du trait et pousse - à un point qui semble insurpassable - le genre. C'est cependant le Daudet romancier, plus méconnu, que cette édition permettra de redécouvrir. Si on peut se procurer facilement les recueils les plus célèbres - dans des éditions dont le texte est d'ailleurs souvent corrompu -, des pans entiers de l'oeuvre sont aujourd'hui inaccessibles aux lecteurs. Daudet est aussi l'auteur du Petit Chose, qui ouvre ce volume et qui, à bien des égards, annonce des romans tels que Robert Helmont, Fromont jeune et Risler aîné, et d'autres - qu'on pourra lire dans les tomes suivants de la présente édition. Les notices, qui s'efforcent de retracer la genèse de chacun des recueils, le recours aux manuscrits, le dépouillement des carnets personnels de Daudet feront bien ressortir l'activité d'un écrivain dont l'invention est toujours en éveil et impérieux le besoin de se raconter. N'est-ce pas Zola qui faisait de l'expression personnelle une qualité primordiale du roman, citant en
exemple l'auteur de Numa Roumestan ? On a enfin rassemblé en appendices des textes épars, aujourd'hui introuvables, tout
particulièrement la série parue sous le titre «Histoire de mes livres», où Daudet jette parfois de curieuses lueurs sur leur genèse. -
Les Romantiques étaient probablement platoniciens, qui cherchaient la vérité de l'être au-delà de la réalité sensible, ombre pâlie d'un éternel dont ils étaient en quête. Puis vint Balzac, qui remit au monde le monde dans lequel les hommes s'agitent, vivent et meurent. C'est
à quoi s'employèrent également Zola, les Goncourt et d'autres, dont Daudet. Il n'est pas certain - comme le remarque finement Gustave Lanson - que l'influence de l'école naturaliste fut «pour le bien» de Daudet. Il n'avait pas la force de Zola, mais il a un charme - c'est Flaubert qui le note - que ne possède pas l'auteur des Rougon-Macquart, les yeux d'un homme dont le paradis serait encore en province et que le monde des villes et du travail met en effroi. Ce tome rassemble trois grands romans, qui sont le versant Zola de Daudet. Elle est retrouvée, quoi ? La nature ! Mais elle n'est pas gaie. Qu'on en juge : Jack, ou les malheurs de l'enfant illégitime. Cette oeuvre, qu'on peut lire comme une suite du Petit Chose, décrit un incessant malheur : mère mondaine se donnant au premier poète raté qu'elle rencontre, abandonnant Jack qui, réduit à travailler dans une fonderie, finit par mourir de phtisie. Le Nabab, ou «De l'argent» ou encore «De la spéculation et de ses risques». Comme l'écrit un critique, ici Daudet «fait le tableau des moeurs honteuses du Second Empire». Les Rois en exil enfin, ou à quelles errances on est conduit quand le pouvoir est perdu et que l'être est mis à nu. Si le héros romantique trouvait en son être solitaire la vérité, le grand apport de l'école naturaliste, c'est d'avoir compris et dit - probablement inspirée par Taine - que l'homme était aussi tissé par le milieu auquel il appartenait. Toutefois - comme le souligne encore Lanson - Daudet «avait trop de spontanéité pour que ses théories pussent gâter son talent» : il y a, dans ces trois romans, une sympathie profonde pour ce bref tumulte que fait tout homme qui passe sur la figure de ce monde. Qu'il soit exilé de son royaume ou condamné dès la naissance au malheur ne change en définitive pas grand-chose : l'être est promis au royaume des Ombres. -
Le succès a son revers. La réputation de conteur attachée à Daudet a fait méconnaître son talent de romancier qui l'avait pourtant imposé au public de son temps. Rien de plus simple que de se procurer les Lettres de mon moulin, mais trouve-t-on aussi facilement
L'Évangéliste ou L'Immortel ? Reproduisant les mêmes modèles fautifs - très tôt, Daudet a cessé de contrôler personnellement les rééditions -, les éditions qui se sont succédées ont transmis les mêmes erreurs. À la désinvolture des éditeurs
répond la désinvolture des critiques. En guise d'analyse, on ne trouve trop souvent qu'un survol dédaigneux. Un auteur célèbre et pourtant mal connu, des textes devenus introuvables ou diffusés sous une forme défectueuse, telle est la situation qui justifiait cette édition. La documentation utilisée présente encore de graves lacunes : tous les manuscrits de Daudet ne sont pas connus et localisés. Compte tenu de ces limites, le présent volume - qui couvre les années 1880 à 1897 - met à la disposition du lecteur des textes sûrs, ou du moins améliorés. Il pourra ainsi se faire une idée plus nette de ce qu'est la création littéraire chez Daudet, à commencer par ce besoin d'écrire, et d'écrire pour raconter des histoires - seule activité sérieuse aux yeux de ce sceptique. -
Alphonse Daudet n'a pas seulement chanté la Provence perdue de son enfance. Dans Sapho, c'est un Paris bien incarné qu'il met en scène, celui de la bohème artistique de son temps, se consumant dans l'ivresse de la fête et des conquêtes d'un soir. Jean, jeune provençal fraîchement monté à Paris, s'éprend d'une très belle femme - modèle - connue sous le nom de Sapho. Sera-ce une de ces liaisons sans lendemain ? Sapho n'est plus jeune et pressent qu'elle vit son dernier amour, mais, pour Jean, c'est le premier. Décalage du temps, désaccord des âmes... Trente ans avant le Chéri de Colette, Daudet a l'intuition magistrale de «ce genre d'amours auxquels le sentiment maternel ajoute une dimension délicieuse et dangereuse.» Michel Tournier
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Aventures prodigieuses de Tartarin de Tarascon
Alphonse Daudet
- Flammarion
- Gf
- 17 Novembre 2010
- 9782081250130
À Tarascon, l'armée était pour Tartarin. La magistrature était pour Tartarin. Enfin, le peuple était pour Tartarin.
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La chèvre de M. Seguin
Alphonse Daudet
- Belin Education
- Boussole - Cycle 3 ; Texte Integral Et Dossier
- 21 Avril 2016
- 9782701197524
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On connaît tous l'oeuvre d'Alphonse Daudet (1840-1897) : Les lettres de mon moulin, Le Petit Chose, Tartarin de Tarascon, Les contes du lundi. On a eu une image mièvre et scolaire de cet écrivain provençal dont l'oeuvre de mémorialiste reste encore à ce jour largement méconnue. Alphonse Daudet fut un témoin privilégié du XIXe siècle et du Second Empire. Après une jeunesse mouvementée, cet enfant de Nîmes travailla entre 1861 et 1865 au cabinet du duc de Morny, le plus haut personnage de l'Empire, après Napoléon III. Aussi ces Mémoires se lisent-ils comme une feuille de température politique et artistique sur le Second Empire, la Commune et le début de la IIIe République. Car Daudet fut avant tout un portraitiste de premier ordre. Il décrit aussi bien la bohème de Murger que les personnages politiques de premier plan comme Gambetta ou Henri Rochefort. Mais c'est aussi toute l'effervescence de la vie littéraire, des frères Goncourt, en passant par Tourgueniev, que croque l'écrivain dans un style vif et mordant. Dans ses Mémoires d'une sombre beauté, il n'oublie pas non plus d'évoquer la genèse et l'histoire de ses livres (Tartarin de Tarascon, Le Petit Chose, etc.). Voici le livre qui rendra toute sa place à Daudet dans le panthéon des écrivains du XIXe siècle.
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Ce petit livre illustré réunit trois contes choisis d'Alphonse Daudet sur la vie des arts et aussi deux écrits sur la vie des lettres. Les trois contes illustrent avec ironie tendresse et mélancolie les séquences de l'activité d'un photographe, les instants d'une soirée de première et les adieux d'un écrivain. Les deux autres écrits nous racontent avec fraîcheur l'émotion des visites de Daudet chez Edmond de Goncourt à Paris et Frédéric Mistral en Provence.
Le choix des écrits de Daudet sur le thème des arts et lettres est illustré par Eugène Burnand, Ernest Biéler et Luigi Rossi, l'auteur des vignettes de Sapho en 1887, paru aux éditions Pagine d'Arte en 2018.
À ce florilège, que l'on pourrait titrer « Alphonse Daudet : marchand de bonheur », correspond la belle citation d'Émile Zola liée à l'image des contes de fées : « une lui a donné la grâce, une autre le charme, une autre sourire qui fait aimer, une autre l'émotion tendre qui fait réussir... et la mauvaise fée - toujours selon Zola - n'a même pas pu entrer ; oui, la mauvaise fée est restée à la porte ».
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jeune encore et déjà lassé du sombre et bruyant paris, alphonse daudet vient de passer les étés dans son moulin de fontvielle, " piqué comme un papillon " sur la colline parmi les lapins.
dans cette ruine ensoleillée de la vallée du rhône , naissent ces contes immortels qui assureront sa gloire. au loin, on entend la trompe de monsieur seguin sonnant sa jolie chèvre blanche. dans le petit bois de chênes verts, un sous-préfet s'endort en faisant des vers. au ciel, où les étoiles se marient entre elles, le curé de cucugnan compte ses malheureux paroissiens. et dans la ville voisine, un jeune paysan meurt d'amour pour une petite arlésienne tout en velours et dentelles qu'on ne verra jamais.
le vieux moulins abandonné est devenu l'âme et l'esprit de la provence. dans le silence des alpilles ou le trapage des cigales et des tambourins, parfumés d'émotions , de sourires et de larmes, ces contes semblent frappés d'une éternelle jeunesse.
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Tartarin de Tarascon Lecture FLE 2ème édition
Alphonse Daudet
- Cle International
- 12 Juin 2017
- 9782090317763
Lecture en français langue étrangère (FLE) dans la collection
Lecture CLE en français facile destiné aux grands adolescents et adultes niveau A1.
Tartarin de Tarascon
Dans la bonne ville de Tarascon, au sud de la France, Tartarin est un héros : il est le meilleur chasseur de la région.
Malgré l'admiration des habitants, Tartarin s'ennuie : il collectionne les armes, rêve d'aventures exotiques et de chasse aux lions en Afrique! Lui qui rêve de grands exploits, qu'attend-il pour partir?
Un jour, il se décide : il part chasser le lion. L'aventure africaine commence, pleine d'évènements inattendus et drôles...
Audio téléchargeable
https://lectures-cle-francais-facile.cle-international.com/ -
Ultima ; ou la dernière heure d'Edmond de Goncourt
Alphonse Daudet
- Mille Et Une Nuits
- La Petite Collection
- 27 Mars 2013
- 9782755507058
Le 16 juillet 1896, Edmond de Goncourt s'éteint à Champrosay, la propriété d'Alphonse Daudet, son ami de plus de vingt ans. Goncourt y est frappé par une congestion pulmonaire qui lui ôte la vie en trois jours. Fortement attristé par sa disparition et lui-même très malade, Daudet utilise la forme du Journal pour faire le récit calme, dépouillé et émouvant de l'agonie de son ami, qui meurt vingt-six ans après son frère Jules.
Publié le 15 août 1896 dans La Revue de Paris, Ultima offre un témoignage vibrant sur la mort brutale du romancier. Au crépuscule du siècle, un écrivain raconte donc la mort d'un autre écrivain, et c'est comme si cette tragédie personnelle, prenant une valeur emblématique, mettait un point final à la littérature d'un siècle dont le Journal des frères Goncourt aura été la mémoire vivante.
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Les trois messes basses ; le poète mistral
Alphonse Daudet
- Equinoxe
- Contes Du Midi Pour Enfants Sages
- 7 Avril 2003
- 9782841350438
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Le secret de maître Cornille, La mule du Pape, Le curé de Cucugnan, La chèvre de monsieur Seguin, Le sous-préfet aux champs, Les trois messes basses ou L'élixir du Révérend Père Gaucher sont parmi les plus connus des contes et nouvelles rassemblés par Alphonse Daudet dans ses Lettres de mon moulin promises à un succès durable.Enracinées dans le Midi provençal, les Lettres de mon moulin se prêtaient tout particulièrement à une traduction en occitan.Celle d'André Lagarde rend avec aisance et brio l'enchantement de l'original et sa prose occitane riche et nuancée se lit avec grand plaisir.
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Le secret de Maître Cornille - Lettres de mon moulin
Alphonse Daudet
- Pytheas
- 15 Avril 2019
- 9782378450373
Notre pays, mon bon monsieur, n'a pas toujours été un endroit mort et sans renom, comme il est aujourd'hui. Autre temps, il s'y faisait un grand commerce de meunerie, et, dix lieues à la ronde, les gens des mas nous apportaient leur blé à moudre [...]Ces moulins-là, voyez-vous, faisaient la joie et la richesse de notre pays.