Les plus jeunes quelle a créé et testé depuis des années les aventures de Têtard. Ainsi, elle a mesuré la force de ce petit héros et son incroyable effet miroir.
ILLUSTRATEUR Guillaume RENON est graphiste et travaille dans le collectif 2 mu fi badin p'tttes ututes avec Jean-François Martin et Delphine Renon.
Il est aussi illustrateur jeunesse et a publié Le Chevallier à la rose aux éditions Milan et Le !na on dénie hé aux éditions Nathan.
Main en classe, faire du toboggan à la récré, choisir son goûter préféré ... Tout autant de petits bonheurs qui seront L'occasion d'un échange complice entre les parents et leurs enfants.
La moindre brindille ou l'écorce tombée pour les ramener chez elle et chauffer sa maison. Lorsque soudain devant elle se dresse un cavalier. C'est un homme immense perché sur son large cheval. C'est un homme hautain vêtu de chaud velours et de bottes fourrées.
C'est le seigneur du château, c'est à lui qu'appartiennent toutes les terres et toutes les forêts alentour. Du haut de sa monture le seigneur toise la fillette avec mépris.
Quand les corbeaux étaient encore blancs, c'était donc il y a très longtemps, Kwanita ne s'appelait pas encore Né-deux-fois.
C'était un enfant comme les autres et sa mère et son père étaient contents. Il poussait bien droit, pas de travers comme les saules de la petite rivière. Mais il ne parlait pas. Les hivers passèrent. Kwanita était devenu grand. Et un beau jour, embrassant ses parents, il partit. Il marcha, marcha longtemps sans rencontrer personne. Le premier que Kwanita salua, ce fut l'oiseau. Celui qui voit haut dans le ciel, celui qui voit loin, et dont les ailes, larges, se déploient au-dessus du monde ; celui dont le chant rond et doux vous accompagne.
Alors Kwanita ouvrit la bouche et sa langue se délia.
La narratrice, une petite fille, raconte son arrivée en France avec son père, puis sa reconduite hors de nos frontières.
Maman, tu m'embêtes : je suis déjà propre.
Je me suis lavé les chevenux hier. Je me suis lavé les dents ce matin. Je me suis lavé les mains avant de manger. Moi, je ne veux pas me laver tous les jours !
" Maman, un jour tu m'as dit : Regarde-moi quand je te parle. Et aujourd'hui tu me dis : Baisse les yeux quand je te parle. Maman, papa m'a dit : Demande à ta mère. Et toi tu m'as dit : Va voir ton père ! J'en ai assez, je ne sais plus quoi faire avec vous ! "
" Maman, quand mamie est morte, tu as dit qu'elle était très malade. Moi aussi je vais être un petit mort si je suis très malade? Maman, quand mamie est morte, tu as dit qu'elle était partie pour toujours. Toi aussi tu vas m'abandonner un jour? Maman, je n'ai pas envie d'être malade, je n'ai pas envie de te quitter. Moi je ne veux jamais mourir! "
" - Benjamin, je te laisse 20 euros et tu vas chez le coiffeur, il est hors de question que tu restes avec cette tignasse ! Je soupire, mais bon, j'y vais. Sauf que tout est complet. Je m'apprête à rebrousser chemin, quand je vois, en haut d'un vieil escalier, une enseigne à moitié effacée surmontée d'une paire de ciseaux géante, où il y a écrit en grandes lettres : GERARD COIFFURE. J'entre. Je me tiens debout au milieu du salon, entre le fauteuil rouge et les bacs. C'est tout vieux, tout sombre. Je vais sortir quand arrive un type de derrière un rideau coulissant. Il a la même coupe de cheveux que ma grand-mère. - Bonjour, jeune homme, chante-t-il en s'essuyant la bouche. Que puis-je pour vous ? - Euh, c'est pour mes cheveux ! - Ça tombe bien, je suis coiffeur. "
Samuel et son papa veulent faire une surprise à maman en ce jour de fêtes des mères. Mais maman s'endort dans le jardin.
Une histoire écrite par Jo Hoestlandt, illustrée par Charlotte Roederer, à colorier par l'enfant pour en faire un cadeau unique.
"Maman, tu répètes toujours : Il faut attendre son tour...
Mais tout le monde passe devant nous ! Maman, tu répètes toujours : Il faut dire s'il te plaît pour avoir quelque chose... J'ai dit s'il te plaît... Mais tu n'as pas voulu m'acheter la nouvelle console de jeux ! La politesse, ça ne sert à rien. Moi, je ne veux plus être poli !"
12 histoires au travers desquelles les enfants découvriront le sens des mots Liberté, Egalité, Fraternité ; des mots vivants.
" Ce jour-là, à l'école, nous allions élire la meilleure camarade de la classe.
Chacune d'entre nous a inscrit un nom sur un papier puis une élève a dessiné au tableau des petites croix à côté des noms qui avaient été plusieurs fois cités. Le choix est alors apparu. C'était moi qui avais obtenu le plus grand nombre de croix. J'étais l'heureuse élue. Et je me suis levée, rouge de fierté. A ce moment-là, la maîtresse m'a regardée, moi qui me tenais là, debout, dans mon petit tablier noir, avec mes cheveux crépus en couronne sur la tête.
Et sans méchanceté aucune, d'une voix parfaitement neutre et naturelle, elle a annoncé : - Evelyne Gooden ? Oh, non ! Pas toi ! Tu n'es même pas d'origine française ! "
" Maman, lis-moi une autre histoire.
Maman, répare mon doudou. Maman, emmène-moi au parc, s'il te plaît... Pourquoi non ? T'es méchante ! Tu ne veux jamais me faire plaisir ! J'en ai assez, je veux changer de maman ! "
Découvrez Mon village - Tout un petit monde à construire, le livre de Delphine Doreau. 17 maisons de papier à détacher et à construire pour jouer, décorer, rêver.
" Jiha le passeur était pauvre, très pauvre, pourtant il souriait tout le temps.
Il avait installé sa barque dans un coin du port de Bagdad, et en échange d'une simple pièce, il faisait traverser les voyageurs. Lorsque quelqu'un n'avait rien, Jiha avait coutume d'offrir la traversée. Aussi, il ne s'enrichissait guère. Il s'en moquait, disant qu'il était l'homme le plus heureux. Il prétendait même qu'il était plus heureux que le grand calife car ce dernier courait éternellement après de nouvelles richesses tandis que lui, Jiha, ne désirait rien de plus que ce qu'il avait.
Et son sourire, son éternel sourire lui donnait raison. Car le calife était réputé pour son regard fermé et ses yeux en colère. Bien évidemment, tant de bonne humeur agaçait ceux qui ont du fiel dans le coeur... "
Trois livres et un carnet, un objet cadeau idéal pour les enfants dès 8 ans, trois histoires qui racontent l'amitié, l'amour, la confiance en soi, l'injustice et la famille.
La valisette naissance Mille étoiles pour te bercer st un joli cadeau pour décorer la chambre de bébé : frise murale, stickers et mobile. Des mots tendres et doux à murmurer à l'oreille des tout-petits.
Conçue et réalisée par Séverine Cordier et Cynthia Lacroix.
Une petite fille veut offrir un trésor à son papa. C'est difficile à trouver, un trésor.
Une histoire écrite par Jo Hoestlandt, illustrée par Charlotte Roederer, à compléter et à colorier par l'enfant pour faire de ce livre un cadeau unique pour son papa.
Un imagier plein de tendresse pour s'émerveiller ensemble de tous ces petits moments inoubliables de la vie.
Six histoires pour découvrir les formes, les chiffres, les couleurs, se repérer dans le temps et l'espace.